Description
Figure de proue en résine du navire La Bayonnaise. Le 14 décembre 1798 : L’incroyable victoire de David contre Goliath
« La Bayonnaise » était une corvette, une fine embarcation. Partie de Cayenne dans les premiers
jours d’octobre avec des vents favorables , elle approche le 14 décembre des côtes de Bretagne
lorsqu’’elle est aperçue par la frégate anglaise « l’Ambuscade » qui se met aussitôt en chasse.
La Bayonnaise est un navire récent, bien entretenu et en très bon état.
Mais la taille et la puissance des deux navires n’ont rien de comparable. ( 300 tonneaux, 38
mètres de long, et 20/28 canons pour les français contre 450 tonneaux, 45 mètres et 32/36 canons—les avis divergent des 2 côté de la Manche )
L’Ambuscade –nom anglais– venait du Cap Finistère où elle avait capturé, une semaine plus tôt, un
brick français. On avait embarqué sur ce dernier le second lieutenant et une partie des meilleurs
matelots.
Mer belle, temps clair et belle visibilité.
Sur le navire français, on vire de bord pour fuir au large et échapper aux anglais.
Sur l’Ambuscade on pense d’abord qu’il s’agit d’un vaisseau anglais (« le Stag ») qui devait les rejoindre. Mais l’erreur est vite réparée.
La bataille commence à tourner à l’avantage des anglais lorsqu’un canon explose à leur bord. Un incident qui ne ferait pas peur à des marins aguerris mais qui a un effet dévastateur sur l’équipage
peut expérimenté. Alors, ils ne chargent plus les canons de la même façon, de peur d’une nouvelle
explosion.
La Bayonnaise tente de fuir à nouveau sachant qu’elle n’a aucune chance de gagner.
Je vous passe les détails. La Bayonnaise a quand même des vents favorables ? Une erreur de manœuvre des anglais ?
Bref la défaite française est imminente mais les français décident d’aller à l’abordage.
Après presque une heure de lutte au corps à corps, le combat s’arrête à la demande du seul officier anglais encore valide .
L
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